ZAYIN – L’ACTION DE GRACE (lettre hébraïque)

 

 

ZAYIN a le pouvoir de la magie blanche, car elle représente le pardon du PERE. Elle est représentée par une épée de lumière en singe d’alliance. Elle enlève tous les anathèmes pour redonner la vie et aviver le souvenir de la parcelle divine qui est en nous tous. Grâce à elle, nos mémoires ancestrales sont lavées, purifiées, la route est éclairée, plus aucun obstacle ne barre notre avancement, nous pouvons nous diriger vers la résurrection. 

Dans ce tableau, je ne pouvais que représenter un grand cercle de lumière puisque c’est ainsi que DIEU se présente à moi. L’épée magique, dirigée de gauche à droite et de bas en haut, touche le point central du cercle qui est le point de la création. Bien que l’envie en fut grande, je n’ai pas voulu ajouter le point rouge de la semence, car les trois couleurs consenties pour cette lettre, sont les couleurs : feu, jaune et orange.

 

 

 

Zayin

L’Action de Grâce

 

ZAYIN, est le glaive de l’Eternel. Elle nous offre son pouvoir de guérison, en levant les mémoires négatives profondes de tous ordres et même des vies antérieures. 

ZAYIN s’adresse à l’âme de Lumière, son action ravive l’empreinte de DIEU dans nos âmes. 

Elle apprend à ne pas se fier aux apparences, à ne trouver la vérité qu’en interrogeant la parcelle divine qui est en nous, pour choisir la voie à suivre. Son épée est offerte en signe d’alliance, car elle est le pardon du PERE, qui efface tout ce qui est noirceur. Elle a le pouvoir de la magie blanche. 

L’âme détient le souvenir de la résurrection. A l’ère du VERSEAU, il faut que le corps physique se souvienne également de cette résurrection, pour se retrouver en un Corps de Lumière. 

Souvenons-nous de MARIE, la douce mère de JESUS qui, lorsqu’elle est retournée à DIEU s’est élevée avec son corps terrestre.  ZAYIN est la gardienne de cette mémoire Sainte. 

Elle est le couteau tranchant de la circoncision, elle coupe tout autour de nous, ce qui sépare de la vie.Elle efface toutes les malédictions. 

Son soleil et son rayonnement (7^ème rayon) lave les anciennes mémoires pour que nous nous souvenions de la splendeur du 7^ème jour. Le septième jour est celui de la Résurrection. 

-         RAYONNEMENT :  FEU JAUNE – ORANGE

-         SIGNIFICATION  :   LE GLAIVE

 

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Le tableau de la petite fille par Sylviane PICHS

 

 

12 Juillet 2001. En méditation, je me retrouve avec GERARD, mon époux toujours aimé. Je ne le vois pas, mais je le ressens, il est bien présent, je le vis dans une grande douceur. L’ESPRIT me dit : 

« Si tu savais à quel point il est béni parmi nous ! Ne juge pas son rôle dans cette vie, sais-tu qu’avant de venir sur cette terre, il avait signé un contrat d’une difficulté exceptionnelle, pour te faire avancer, c’est pour cela que tu l’as choisi instinctivement, à l’extrême limite, plutôt qu’un autre qui était sur les ranges. Il savait qu’il venait là pour jouer le rôle d’un être abject jusqu’au point de se donner la mort, pour te faire vivre un amour inconditionnel terrestre, le frère tout proche de l’amour divin. Tu as toujours su qu’il n’était pas ainsi, puisque malgré tous les événements difficiles que vous avez vécus au sein de votre couple, tu le répétais sans cesse à qui voulait bien l’entendre. Tu disais que tu voyais en lui un autre personnage que celui que tu connaissais, que ce que tu aimais était celui que tu connaissais vraiment. A l’issue de votre union, après son départ, tu as parfaitement compris le travail qu’il t’avait fait faire et tu l’as remercié. Aujourd’hui, nous soulevons cette partie de voile et tu le retrouves et le ressens dans toute sa splendeur, tel qu’il est en réalité ».  

Nous sommes déjà au 13 juillet, ce matin, j’ai été informée par trois messages, mais il y en a un que je ne retracerai pas sur ces feuilles car il concerne une tierce personne, avec des événements à venir, il sera donc mis à part pour vérifier plus tard s’il se produit.  

J’ai terminé le tableau de la petite fille dans la lumière.

 

 MA VERITE

Petit fille dans la Lumière

Septième tableau du 3^ème Fil d’Or (mi-juillet 2001)

 

Je lis actuellement « Les GRANDES VOIES DU SOLEIL »    par SORIA, magnifique énergie des Pléiades, fille de note merveilleux SOLEIL CENTRAL, que j’ai toujours nommé DIEU CERCLE DE LUMIERE. Le voile s’entrouvre peu à peu, me laissant découvrir que chacun des messages qui m’ont été envoyés sont des vérités que je peux vérifier au fur et à mesure de livres mis à ma disposition toujours au moment précis où cela est nécessaire. 

Je précise toujours que je suis informée des choses avant de les lire. Mes sentiments ont considérablement changés en très peu de temps, je trouve que tout va très vite. L’approche des plantes, de la nature et des animaux me touche bien davantage, un langage s’établit entre nous qui me permet une communication plus riche et plus vraie. Je suis attirée par le moindre petit détail et je vois qu’il est indispensable, qu’il en soit ainsi car chaque fois il en découle quelque chose de positif.

 

 

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Sylviane PICHS remercie SORIA

 

 

Le troisième volume de SORIA est arrivé et je me le suis procuré hier soir. Il s’intitule « VOYAGE ». Je l’installe donc ce vendredi 26 avril 2002 et parcours les premières pages. La septième retient mon attention car j’y découvre la raison de ma vision perçue un peu avant Noël 2001 qui représente une couronne d’anges située juste au-dessus de la terre. Je constate dans cette toile que la lumière passe entre les anges de la lumière et les anges de l’ombre. Il nous faut connaitre les deux faces de ces anges pour réaliser notre équilibre. SORIA en parle en effet de cette façon : « Votre balance cosmique vous invite sans cesse à équilibrer les deux plateaux. Avez-vous jamais songé à quoi pouvaient ressembler ces derniers ? Oui, à rien d’autre qu’à l’ombre et à la lumière, telles que vous les concevez dans la matière lourde. La lumière de vie est représentée sur la balance par la flèche indiquant l’équilibre et  l’aiguille c’est vous ; vous qui naviguez à chaque instant, installés par rapport à vos choix, hésitant dans vos décisions parfois extrêmes, rigides dans les applications et démontrant votre jeu. La lumière de vie voyage alors dans les contrées les plus sombres de la création, afin de rétablir l’équilibre ».

Cela est bien clair, merci SORIA  pour ce message que j’ai reçu il y a quelques mois, avant que ne soit édité ce livre d’ailleurs. 

Le 30 avril 2002, je poursuis ma lecture et en suis à la page 17. SORIA  nous signifie que nous sommes par la volonté de notre grand constructeur, par des êtres instructeurs, des entités qui ne quitteront jamais le cercle de vie, ils se dévoueront entièrement à l’éducation. Cette éducation est représentée par des cercles de vie. En ce qui nous concerne, il y en a sept. Je comprends mieux pourquoi je perçois toujours des cercles et qu’ils sont la plupart du temps représentés dans mes peintures. Mais ce qui me séduit le plus, c’est qu’elle nous informe que le septième cercle porte sur la réalité constructive des sons et de la couleur.

 

Cette réalité est la mienne propre, cet état fait partie de ma vie actuelle, puisque je lis, j’écris et je peins avec la musique aux oreilles. Cette musique qui est mon Fil d’Or, me connecte, les sons me propulsent dans un univers de grâce et les messages, les formes, et les couleurs affluent et envahissent entièrement mes cellules. Chaque sujet devient –moi-. Il est tellement vivant et présent qu’aucun détail ne m’échappe et c’est alors qu’il est très vite réalisé. Je peins et j’écris presque sans m’en rendre compte durant des heures, sans souffrir ni du froid, ni de la faim, ni même des douleurs de mon corps qui en temps normal me persécutent. Cet état d’être me fait dire que ma main est guidée et bien guidée puisque par la suite dans ces merveilleuses lectures, je retrouve tous les symboles qui m’ont été soufflés, je dirais même presque insufflés. 

Le 2 mai 2002, au cours de mon voyage avec notre très chère amie SORIA, je me retrouve en présence de mon triptyque peint en 1998, 4^ème tableau de mon deuxième Fil d’or.

Je me retrouve dans ce silencieux personnage vêtu d’une robe couleur nuit, assis sur la terre dans la position du lotus (entre parenthèse, ce que je n’ai jamais pu arriver à faire dans mes exercices de gymnastique), entouré d’une bulle superbe qui grossi et devient plus translucide au fur et à mesure du parcours des trois toiles, aboutissant sur la dernière à une énorme bulle dorée. 

Je lève aussi les yeux sur l’arrivée de KRYEON, au centre d’une croisée de chemin, accompagné et entouré d’une pléiade de bulles de toutes les couleurs (voir tableau n°24 –juin 2000) 

Par rapport aux bulles, SORIA nous dit ceci : « La bulle christique vous visite pour sa propre expérience et vous, humanité, par votre propre expérience, vous vous couronnez, enfants divins et reconnus ». Puis, plus loin… « Dans l’avenir du grand sidéral, la bulle christique à l’œuvre ici, sur cette planète, servira de référence et, contribuer à engendrer des séquences inédites d’action au sien d’une ou peut-être plusieurs autres bulles christiques qui seront en porte à l’extérieur de votre univers d’appartenance. 

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Les retrouvailles avec Sylviane PICHS

 

 

Je vous retrouve, ce jour 8 juillet. Un mois et demi sans rien, absolument rien ! J’ai l’impression d‘avoir été mise au repos. Je me rends compte que cela est voulu. J’ai expérimenté pendant tout ce temps un bon nombre de difficultés nécessaires à l’évolution. Il ne faut surtout pas oublier nos racines terrestres. La grâce doit se retrouver même (et surtout) pendant les expériences de la matière et c’est bien là le plus dur travail. Ma seconde fille vient, elle aussi, de subir une intervention chirurgicale, le 2 juillet 2002. L’une après l’autre, cela me chagrine beaucoup car pour ma part, la vie de mes enfants et petits-enfants a bien plus d’importance que la mienne. Mon propre bonheur découlant bien entendu de leur équilibre dans tous les domaines, comme toute mère qui se respecte. Ainsi, pendant tout ce temps de repos obligé, l’absence de méditation et la lecture m’ont démontré que, en réalité, je n’avais pas besoin de me poser à un endroit précis pour être en contact avec DIEU et avec la hiérarchie divine. Non ! car en fait durant tout ce temps d’obligations terrestres, rien n’a été réalisé sans l’accord de DIEU, surtout pendant les moments les plus difficiles. Je mesure la différence avec ce qui serait advenu il y a quelques années, si j’avais eu les mêmes problèmes, et je me rends compte qu’actuellement, au lieu de me trouver dans un état de surexcitation, ou d’anxiété permanente, comme je l’étais auparavant, je laisse s’écouler les événements avec calme, clarté et confiance. 

Ainsi, ce 8 juillet 2002 qui me permet de me retrouver sur mon lieu de méditation, me fait don d’un beau cadeau sous la forme d’un énorme cristal qui surgit du fond de mes entrailles, depuis le premier chakra rouge, pour aboutir entre les deux yeux. Il ressemble à un superbe crayon dans des tons violets, rubis, mauves, s’éclaircissant vers le haut, dans des nuances turquoises. Il se termine en pointe, en haut du nez, dans des couleurs vertes. De chaque côté des yeux des larmes affluent abondamment et descendent sur les joues. On m’informe alors de ceci : « Tu te prépares actuellement pour ton travail après le départ de cette terre. Tu partiras dans un endroit où le cristal règne et vit en abondance, il régit des vibrations colorées et très puissantes ». Je tourne machinalement la tête vers la gauche où se trouve le tableau de JUPITER. Il n’y a pas que sur JUPITER que le cristal est roi, et j’étais bien loin de me douter à quel endroit je me retrouverai après cette vie-ci.

 

 

CRISTAL EN FORME D’EPEE SURGISSANT DU CHAKRA RACINE

Dix-septième tableau du 3^ème Fil d’Or (Juillet 2002)

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MESSAGE pour ANGELE, par Sylviane PICHS

 

 

Après que les concerts aient été terminés, je peignis un tableau pour la personne se nommant ANGELE, dont je vous ai parlé précédemment dans ces pages. Pour mémoire, j’avais fait sa connaissance au salon de la voyance qui se déroule chaque année à BIARRITZ.

 

 

MESSAGE POUR ANGELE

Vingt-septième tableau du 3^ème Fil d’Or (Noël 2002)

 

 

Je me jetai ensuite à corps perdu dans l’exécution des trois tableaux qui me restaient. A savoir : ADAMA dans le désert, ADAMA dans une grotte sous la terre, ADAMA dans la montagne. 

En quinze jours tout était terminé. Le dernier fut exécuté en six heures et me fit don en se révélant d’un cadeau magnifique, se manifestant par ses couleurs franches et vives, des tons rutilants, semblant glacés, tels que l’on peut les retrouver lorsqu’on fiat un voyage dans l’astral. Il dégage une émotion très particulière qui me bouleverse et ADAMA ne nous offre qu’un tiers de son visage blanc, dissimulé derrière une très haute montagne violette et blanche, ses yeux sont clos, il sommeille là paisiblement avec un visage d’une confiance totale. 

Après avoir terminé ma série « d’ANGES-DIEU » je me donne le droit de lire TELOS que je n’avais pas eu le temps d’ouvrir jusqu’alors.

 

 

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