LE FIL D’OR N° 3 de Sylviane PICHS

Posté par francesca7 le 23 juillet 2016

LE FIL D’OR N° 3

 

 

 amour-coeur-00055

1 - cristal en forme d'épée

 

 CRISTAL EN FORME D’EPEE

Surgissant du chakra racine

17ème  tableau du 3ème cahier

(juillet 2002)

 

 PICHS Sylviane

Ecrit et illustré

par Sylviane PICHS

 

( Notre Père en Araméen – par Carolyne Sons)

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Message pour un nouveau tableau de Sylviane PICHS

Posté par francesca7 le 23 juillet 2016

 

 papillon animé

Je viens d’achever mon deuxième cahier, et ce matin 13 janvier 2001, fidèle à ma méditation quotidienne, nourrie par la musique sacrée orthodoxe, j’ai le privilège d’avoir un message grandiose qui ravi mon âme. Notre Mère à tous, MARIE, m’apparaît au jour de l’Assomption. Cette image est presque insoutenable. La vibration et la lumière sont inexplicables par des mots et l’émotion que je ressens devant cette apparition dépasse les limites humaines. J’ai le sentiment que mon cœur va éclater et les larmes sont si abondantes qu’il m’est impossible de les arrêter. Sans que je m’en rende compte, je me trouve en prière pour toute ma famille, je veux parler de mes enfants et mes petits enfants, ainsi que ceux qui m’approchent et en particulier pour quelques cas extrêmes que je côtoie chaque jour pour des situations difficiles à résoudre. 

Ma tête, qui est baissée, se relève tout doucement et à ce moment, venant d’en haut, à gauche, une lumière vient me frapper en plein centre de la poitrine, c’est-à-dire au plexus. Je ne sais pas bien ce qui se passe, cela est si inattendu que je fais un bond et que mon cœur se met à battre la chamade. Je m’en remets assez vite, mais je crois que j’ai eu peur. Pourquoi est-ce que j’ai eu peur ? Réflexe instinctif, pourtant, j’ai appris à réprimer la peur, à la vaincre. Ne s’agit-il pas là, selon l’enseignement de KRYEON, d’un des premiers efforts à fournir ? J’ai beau avoir assimilé la leçon, je suis loin de la mettre en pratique, peut-être est-ce parce que j’ai été surprise. 

Je sais que je dois peindre cette vision dont je vais vous donner l’explication.   

Le ciel est tout bleu. Pas tout à fait au milieu, plus vers le bas, MARIE est allongée dans des voiles blancs. Son front est ceint d’un large ruban blanc immaculé. Sa main gauche est posée sur son cœur et l’autre qui dépasse des voiles est dirigée vers la TERRE, comme si elle ne voulait pas la quitter, ou bien plutôt comme si elle voulait la protéger en partant. Sous son corps, trois chérubins tendent les bras vers elle, comme s’ils voulaient la soutenir et la faire monter, mais leurs mains ne touchent pas le corps sacré. Elles arrivent seulement à atteindre l’aura magnifique. Au-dessus, tout est lumière ! 

Il s’agit d’un chemin qui aboutit à DIEU, cercle de lumière et tout au long de cette montée, une multitude d’anges accompagnent cette arrivée céleste, car je vois beaucoup d’ailes grandes ouvertes, et chose étrange, des yeux démesurément ouverts par l’étonnement et l’admiration. Il y en a de toutes les couleurs et certains, éblouis par le SAINT corps qui se soulève, sont voilés par les ailes. En haut à gauche, des anges destinés à d’autres fonctions, car ils sont différents dans leur aspect, plus petits aussi, se montrent dans des attitudes d’accueil et de respect. A cet emplacement, un visage d’homme barbu, lumineux, aux yeux clos, s’entr’aperçoit. Il s’est dessiné au tout début de mon travail alors que j’avais effacé une erreur, et c’est JEAN-LOUIS, mon gendre, qui me l’a fait remarquer, tout comme lorsqu’il avait vu le visage de MATHILDE (voir tableau n°25 – août 2000 du 2ème cahier). Ses remarques sont très importantes pour moi et je me suis empressée de tracer au pinceau ce qu’il me faisait découvrir. En haut à droite, il y a des cloches, elles sont au nombre de trois. 

Je constate que le premier message de ce troisième cahier ressemble à mes visions du début, c’est à dire à l’année 1990. Je retrouve ma peinture éthérée aux couleurs estompées et délicates, tout comme celles employées pour la naissance de MATHILDE. Qu’est-ce que l’on veut me faire comprendre je ne le sais pas, mais il y a forcément une raison à cela. 

A peu près en même temps, et ceci le 17 janvier 2001, alors que je me trouvais en méditation, j’écoute tout à fait par hasard un extrait de PARCIFAL sur les antiennes de ma radio préférée et bien que n’étant pas une adapte de WAGNER (pardon aux « fans« ), au moment même où carillonnent les cloches, atmosphère ressemblant absolument à des cloches russes, je me sens transportée dans un état euphorique impressionnant, tout à fait inhabituel. (Probablement toujours mes origines Russes).  

Je baigne alors dans une énergie blanche et me déplace très lentement, avec des mouvements ondulatoires tel un enfant évoluant dans le liquide amniotique, à l’intérieur du ventre de sa mère (c’est le message que je reçois à cet instant). Au fur et à mesure de ce voyage, cette énergie se transforme sous mes yeux et à l’intérieur de moi, en un magnifique manteau d’hermine à longue traîne. Je vois alors se dessiner très distinctement un prestigieux personnage que je perçois de dos, avançant à un rythme lent et majestueux. Le manteau est placé sur ses épaules et la fourrure bouge avec des mouvements souples et langoureux et je n’arrive pas à savoir s’il s’agit d’une cape ou d’un manteau. Toute cette scène est lente et imposante, l’événement doit avoir une grande importance. L’environnement est blanc, je ne vois rien d’autre que du blanc. Je sais toutefois que le personnage est un homme. 

Une énorme couronne d’argent ciselée est placée sur sa tête, elle scintille au rythme de ses pas, et il continue son chemin vers le blanc. Je ressens un sentiment d’amour et de paix, et surtout de justice à l’intérieur de cet être et je sais aussi que le manteau est très lourd à porter. 

Comme bien souvent, je ne comprends pas la signification de ce message et j’ignore si je dois le peindre car représenter du blanc sur du blanc, d’une part est très difficile, et un seul sujet dans un tableau me crée une difficulté supplémentaire. J’attends que l’on veuille bien me faire signe. 

Cela ne se fait pas attendre et c’est en peignant mon premier sujet, c’est à dire l’ASSOMPTION, que l’on m’a donné le feu vert en me signifiant que le sujet était d’importance et qu’il fallait l’immortaliser sur une toile.

 

Bien chef !

 

 

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Exécution des tableaux de Sylviane PICHS

Posté par francesca7 le 22 juillet 2016

 

 

Le temps s’écoule et je me retrouve au 10 février 2001. J’exécute toujours ma toile de l’ASSOMPTION et pour la première fois je mets beaucoup de temps pour en venir à bout. La routine quotidienne m’occupe énormément et ma connexion avec les autres plans est laborieuse, ce qui me rend très triste, mais acharnée. En réalité, cette toile ne sera vraiment terminée que le 8 mars 2001, pour la bonne raison que la veille, en méditation, deux couleurs me sont envoyées. Voici comment cela s’est passé : 

Au matin du 7 mars 2001, j’ai le grand bonheur d’avoir entre les mains le 6ème volume de KRYEON (FRANCHIR LE SEUIL MILLENAIRE), qui vient d’arriver chez mon libraire. Avant même de l’ouvrir, un sentiment de nostalgie profonde me traverse. Je serre ce livre contre moi et je ressens vivement le rayonnement de KRYEON, mais je ne peux m’empêcher de penser qu’il ne reste plus que quelques mois pour être en relation avec lui et je réalise qu’il y a déjà longtemps, inconsciemment, que je compte même les jours avant cette échéance. Voilà donc la raison de ma tristesse.

 

Il m’est répondu immédiatement ceci : 

« Ne pleure pas, je t’ai appris qu’il faut vivre le temps présent et avoir confiance. Tu aimes NOTRE PERE et tu sais bien que tu ne seras pas abandonnée. Je vais même t’apprendre une bonne nouvelle, lorsque je me serai éloigné de la TERRE, une autre énergie sera envoyée et ce n’est pas un ange qui viendra, mais plusieurs, de la hiérarchie de METTATRON. Voilà pourquoi j’ai parlé de METTATRON à plusieurs reprises dans mes messages. Nous sommes du même rayonnement que MICHAEL, Archange ». 

C’est à ce moment précis que, en fermant les yeux, deux couleurs inhabituelles, particulières me sont envoyées et qu’il m’est ordonné de les rajouter sur le tableau de l’ASSOMPTION, à des endroits bien définis. Ce sont plutôt des mélanges de couleurs. 

La première se compose de turquoise, avec un soupçon de bleu foncé et du gris. Je sens des particules argentées dans ce mélange, c’est une sensation qui doit être soulignée, sans pouvoir vraiment l’expliquer, et qui n’est pas facile à représenter. La seconde est l’association de mauve pâle et de rose soutenu, avec aussi du gris dedans. Je ressens également de l’argent. On me donne l’ordre de rajouter ces deux couleurs dans le ciel qui reçoit MARIE. Bien entendu ces tons sont très pâles, ils sont même transparents.

 16 - Assomption

L’ASSOMPTION

Premier tableau du 3ème Livre d’Or

Début mi-février – terminé début mars 2001

 

 

En même temps, alors que je n’avais pas tout à fait terminé L’ASSOMPTION, je représentai le roi au manteau d’hermine qui fut très vite exécuté sur une petite toile. 

Chose très agréable et étonnante, ce blanc, ces tons de gris et ce noir envoient énormément de lumière !

 

 3 - le manteau de l'esprit

 LE MANTEAU DE L’ESPRIT

Deuxième tableau du 3ème Livre d’Or

(25 février 2001)

 

 

Revenons donc au 10 février 2001. Le hasard, la providence, le SEIGNEUR, interprétez-le comme bon vous semblera, m’a fait parvenir par l’intermédiaire d’une jeune femme à qui j’ai fait connaître les écrits de KRYEON, un écrit qu’elle a découvert sur Internet, qui relate la vie des « HOPI » dont parle justement KRYEON. Il s’agit pour ces êtres de se relier, à partir du monde souterrain, à la partie supérieure du ciel. Pour cela, plusieurs moyens sont employés, entre autres, les arbres suivants : le pin, le chêne, le saule etc… mais… seul le roseau y est parvenu parce qu’il est le plus souple et le plus sage. 

 

 

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Pourquoi le roseau pour Sylviane PICHS

Posté par francesca7 le 22 juillet 2016

 

 

bouquets-00033N’y voyez-là aucun orgueil, mais je vais vous expliquer que depuis douze ans, donc avant que je ne suive mon extraordinaire route, j’ai installé sur mon piano, tout à fait intuitivement, plusieurs symboles représentant pour moi la définition de l’être humain rattaché au ciel, qui semblerait avoir abouti à un certain stade d’évolution.

 

Ces symboles sont : 

-        Le lion, roi et force.

-        Le chat, sagesse, calme, placidité venant de la nuit des temps, qui terrasse le serpent.

-        L’ibis dont le bec et la tête sont levés vers le ciel.

-        Le flamand rose dont le col suffisamment souple est tourné vers la terre et accepte de se soumettre.

-        La chouette qui voit dans la nuit.

-        L’arbre de cristal, clairvoyance, limpidité, perfection dans la vérité.

-        La pierre de cristal, pureté totale et inégalable.

-        Un morceau de pierre rouge de l’Arizona (CEDONA), force énergétique gigantesque.

-        Une cloche, qui représente l’appel direct venant du ciel.

-        Un petit poisson qui signifie mon signe astrologique.

-        Et … un roseau dont un épi est levé vers le ciel et l’autre tourné vers le sol.

 

Ce merveilleux roseau que je découvre dans cet écrit de « HOPI » qui se faufile de la terre au ciel, je le retrouve également dans un de mes tableaux (voir n°18, fin septembre 1999 du 2ème Fil d’Or)    qui représente le lever du soleil au bord d’un lac embrumé un matin d’automne. Sur la berge, un unique et solitaire roseau est penché et voit son reflet dans l’eau. Il a l’air d’avoir froid, mais les rayons du soleil levant viennent le caresser, le réchauffer, l’illuminer au travers de trois arbres. 

C’est le matin où l’on m’a dit : « AURORE ». Ce matin donc, où je lis ces pages des « HOPI », je remercie d’une façon toute particulière « MON PERE » qui m’a transmis cet écrit.

 

 

 

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Le Roi du manteau d’hermine pour Sylviane PICHS

Posté par francesca7 le 22 juillet 2016

 

 

 

Lorsque j’eus terminé le ROI AU MANTEAU D’HERMINE, un autre sujet noir et blanc me fut présenté. Pourquoi deux scènes à représenter en noir et blanc reçues coup sur coup ? 

Le travail des nuances et des dégradés de noir et blanc est particulièrement difficile à réaliser. Tout au moins pour moi qui n’ai aucune technique picturale. 

Voici la description de cette vision. 

Je vois encore une route très large au départ, aboutissant à un tout petit cercle de lumière que l’on voit très loin au fond. A l’avant, surtout sur la droite, il y a des nuages très foncés qui s’éclaircissent et deviennent du brouillard blanc lorsqu’ils atteignent le cercle blanc, à l’horizon. Sur le côté gauche, toujours des nuages s’estompant également vers le fond, mais ils sont moins noirs. Un seul sujet se trouve dans cette atmosphère très étrange, c’est un vieillard qui surgit de la droite dans une masse nuageuse et pose son pied droit sur la route qu’il s’apprête à parcourir. Il est chenu, son dos est tout voûté et son corps est recouvert d’une mince robe sans manche, si mince qu’elle colle à sa maigreur et n’a pas l’air de le protéger le moins du monde. 

Elle cache seulement des membres tordus par tant de vies passées. Elle arrive au-dessous des genoux. Sa taille est entourée d’un lien noir. Le pied qu’il pose sur la route se distingue bien. Cet ancêtre est aidé dans sa marche par un énorme bâton qu’il tient dans la main droite. Ses cheveux qui tombent sur les épaules sont si blancs qu’ils en sont transparents et semblent être réalisés avec de la neige. 

Mon troisième tableau est terminé. Il est étrange ! car au dernier moment, on m’a fait rajouter dans tout ce gris, un cercle entourant mon vieillard et tout le fond du tableau, ce cercle étant composé d’un soupçon de violet, comme s’il s’agissait d’un arc-en-ciel. 

4 - L'Hermite

Quelques temps après, MARTINE vient me voir après plusieurs mois de vacances  et me fait remarquer, à propos de cette peintre, qu’elle voit au fond, émergeant du petit rond de lumière, une tête d’angelot à cheveux mi-longs, bouclés, et la bouche semi-ouverte sur le vieillard. On dirait une tête de pâtre grec. C’est tout à fait évident et je ne l’avais ni vu ni peint volontairement. Après sa remarque, je n’ai fait que souligner très légèrement en blanc cette image parfaitement dessinée.

 

Merci ma chère MARTINE !

  

Ne comprenant pas très bien la signification de cette vision, je téléphone à FRANCOISE qui me dit : « Oh ! Sylviane, tu viens de représenter l’hermine dans le jeu des tarots. Il est le n° 9, donc la fin d’un cycle, le 10 qui suit (ou 1) représentant le changement ou le renouveau.

 

Merci FRANCOISE !

 

A quelques temps de là, environ quinze jours après l’achèvement de mes deux dernières toiles, j’arrive à la page 95 du volume n° 6 de KRYEON et je lis ceci : « … Ici, le mot clé est donc sagesse, et celle-ci est issue du MANTEAU de l’ESPRIT ».

 

Je vois alors mon avant-dernier tableau – LE MANTEAU D’HERMINE – ce roi majestueux positionné devant DIEU.

 

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