MA RENCONTRE avec Francesca

 

 

Après que l’hiver 2015  me permit de bien m’installer dans ma nouvelle demeure, j’organisai, en remplacement des graviers  qui couvraient le sol extérieur, un jardin tout en pelouse et arbres doublant ma haie pour me rappeler un peu ma campagne abandonnée.

 

En  avril 2016, j’eus l’idée de jeter un coup  d’oeil sur Internet, chose que je ne faisais jamais à URCUIT car lorsque je travaillais, j’en avais tellement assez de l’informatique que je m’étais jurée de ne plus jamais me servir de cet engin.

 

Oui, mais voilà !! ?……… 

 

Ce jour là je ne me souvenais pas bien de l’orthographe du nom de mon Ange Gardien, c’est la raison qui me fit aller piocher sur mon ordinateur. Il s’agissait de MUMIAH

  

 

Bien entendu, je tombai tout de suite sur un forum sécurisé pour obtenir mon renseignement et la curiosité fut la plus forte, je voulus en apprendre davantage et m’intéressai à plusieurs sujets présentés sur ce forum de discussion.

  

Je répondis à une question  anodine concernant les anges et, lancée par je ne sais quelle voix intérieure je commence à raconter mon histoire d’éveil spirituel, juste un petit peu c’est tout, puis j’éteins…..

 

 
Je ne sais plus combien de jours après, peut-être le lendemain, je reprends le même sujet sur le forum  et, je m’aperçois qu’une personne se nommant FRANCESCA me répond en disant que mon histoire  l’avait intéressée  et qu’elle souhaiterait en connaître davantage. J’avoue que j’ai longtemps hésité mais la curiosité fut la plus forte et (heureusement!), car un long échange de courriers s’installa entre nous deux jusqu’à ce que FRANCESCA me propose de transcrire sur la toile, toutes les histoires contenues dans le FIL D’OR,  ainsi que les photos des tableaux correspondant à chaque message reçus, dans un BLOG à mon nom.

J’hésitai encore pas mal de temps avant d’accepter car personne de ma famille n’était au courant de ce que j’avais écrit. Ils voyaient juste les tableaux qui augmentaient rapidement dans mon appartement, mais ne soupçonnaient pas ce que je faisais de tout cela et surtout pas que j’en avais écrit l’histoire.

 

J’hésitai pas mal de temps. La crainte que mes enfants découvrent tout cela sans que je leur ai dit quoi que ce soit me gênait beaucoup. Puis finalement, j’acceptai !

 

Je maniais très mal la pratique de cet ordinateur et je fus obligée de faire faire des copies à BAYONNE de mes trois livres, de re-photographier  tous les tableaux concernés qui étaient encore enveloppés dans du papier bulle et rangés dans des coffres et de finalement tout envoyer par La Poste, à Francesca.

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