TEXTES accompagnant les tableaux exposés à SAINT SEVER (suite)

 

Exposition des LETTRES HEBRAIQUES

Par Sylviane PICHS

 

 

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EXPOSITION : Les lettres finales de Sylviane PICHS

LES EXPOSITIONS DE SYLVIANE PICHS

 

 

Les tableaux des vingt-huit Lettres Hébraïques ont été terminés le 07 Mars 2006, ainsi que les écrits qui les accompagnent. Une exposition était prévue pour le 25 Juillet jusqu’au 6 août à ST SEVER dans les Landes, j’avais enfin réussi à joindre MARIE ELIA grâce à MARTINE qui, étant venue me voir le mercredi 18 janvier 2006, m’avait fait la surprise de lui envoyer un message sur Internet pour lui expliquer le travail que j’avais fait à la suite de la lecture de son merveilleux ouvrage. 

Le 21 janvier 2006 j’avais eu la joie d’entendre sa voix au téléphone et elle fut mise au courant du projet que j’étais en train de mettre en œuvre concernant son livre. Je lui en demandai l’autorisation, lui précisant que je respectais la mission de chacun des Lettres Hébraïques et que j’employais mes sentiments et mes propres paroles pour qu’il n’y ait pas de confusion. 

Cette première explosion à SAINT SEVER se déroula dans une joie débordante. Tout fut mis en place avec amour et respect. 

Je remercie mes deux hôtes, MARIE-FRANCE et BERTRAND son époux qui m’ont accueillie si chaleureusement. Ils se sont beaucoup investis, pour me rendre le moindre service et pour que tout soit bien ordonné. MERCI encore à tous deux. 

J’ai eu le bonheur de rencontrer un grand nombre d’artistes, oeuvrant pour la plupart avec leur cœur et ils m’ont donné chaud au mien ! J’ai vu et parlé à des pèlerins puisque SAINT SEVER est une halte pour les gens qui empruntent le chemin de COMPOSTELLE. Plusieurs touchées par ces lettres m’ont parlé longuement et leur questionnement était très intéressant et constructif. A l’entrée, sur la table d’accueil, j’avais déposé et entr’ouvert le livre de MARIE ELIA et plusieurs ont noté les coordonnées pour acheter l’œuvre. 

ALAIN, connaissait sur le bout des doigts la KABBALLE. Il se réjouissait, en compagnie de son ami GUY de voir l’exposition. Ces deux messieurs sont très vitre devenus mes amis de la route. ALAIN me prépara un dossier personnel me permettant de contacter à l’aide d’exercices, mes trois anges tutélaires, dont je n’avais aucune connaissance auparavant. La suite des événements venaient à propos, comme par hasard (ironiquement) et mon esprit fit connaissance grâce à ce travail dont j’avais besoin, avec HAIAIEL qui est un ange, ANAUEL qui est un Archange et REHIEIL, qui fait partie des DOMINATIONS, toujours bien entendu en compagnie de MUMIAH mon bel ange gardien au visage de bébé.

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EXPOSITION « SPIRITUALITE » – Sylviane PICHS

 

 

 

 

Le temps et les années s’écoulant, je fis plusieurs tableaux se rapportant à la spiritualité, au cosmos, à la mythologie, à la terre et à la mer….

 

 

 

Le MAGNIFICAT ou l’ANNONCE FAITE à MARIE

Toile de 1,70 m X 1m

 

L’annonce faite à MARIE, est représentée par un œuf qui est le sujet principal. A l’intérieur de cet œuf lumineux, on aperçoit la vie. En haut du tableau à droite la silhouette de MARIE se présente avec deux poissons, symbole de l’ère des poissons.

 

A gauche, en haut 7 anges représentent la plus haute demeure divine. En-dessous, le cercle de lumière habituel qui est DIEU. Juste encore au-dessous, l’Archange GABRIEL, annonce à MARIE qu’elle donnera naissance au MESSIE.

 

 

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EXPOSITION des TOILES de Sylviane PICHS – DOULEUR DE LA MERE

 

 

 

La DOULEUR DE LA MERE

Toile de 1,70 m X 1m

 

A la suite de cela, le mont de la supplication de notre Maître JESUS me vint à l’esprit et surtout le moment juste après qu’on l’ait descendu de la croix. A cet instant où MARIE le saisit dans ses bras, alors qu’il venait d’être recouvert du linceul blanc. J’ai voulu montrer que seul dans son esprit, le linceul vide lui était rendu mais pas son fils. 

Dans ce tableau, une immense croix, recouvre la toile. MARIE est devant, vêtue d’une robe bleue marine et d’un voile du même tissu et de la même couleur. Elle se trouve entre cette croix et un lac. Dans ses bras repose un linceul vide. Sur la croix, le visage de JESUS est déjà imprimé. Du linceul, des gouttes de sang tombent sur la robe, puis dans l’eau et laissent également une autre empreinte sur la Terre. 

Derrière MARIE, l’entrée du temple représenté par une colonne derrière laquelle le rideau rouge est déchiré.

 

 

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