Suite des visions de Sylviane PICHS
Posté par francesca7 le 1 juillet 2016
Presque en même temps, c’est-à-dire en Juin 1993, je sentis et vis simultanément mon visage se transformer en or. Pas du tout l’or que l’on trouve sur terre, mais un métal surprenant, dense et plutôt pâle, d’un aspect mat, diffusant de l’intérieur une douce et chaude luminosité. Ce tableau se traduisit par un visage d’or, dont la chevelure forme des ondes mouvantes, colorées, le front ceint d’une fine couronne de fleurs champêtres, d’où descendent des rubans, maintenant un bouquet de fleurs plus grosses suspendu à la droite du visage.
La REINE DU CIEL – VISAGE D’OR
Quatorzième Tableau (juin 1993)
Je souhaite apporter une petite précision dans ce récit, à savoir que les visages que je peins, si toutefois on pouvait y voir une quelconque ressemblance, ne me représentent pas. Ainsi que je l’ai expliqué plus haut, je vis intensément chacun de ces sujets, je laisse ensuite à mes guides le soin de retracer pour moi les formes et les couleurs. Ma volonté n’intervient pas, le pinceau court sur la toile selon les désirs des plans supérieurs.
En Juillet, une image sublime me fut offerte. La Vierge MARIE, m’apparut en entier dans une blancheur comparable à de la mousse. Elle est recouverte de voiles interminables, blancs et vaporeux. Tournée de trois quart, le visage doucement incliné vers le bas, souriant en contemplant son ventre grossi, ses deux bras ouverts et dirigés vers cette partie d’elle-même, elle semble témoigner d’une offrande. Un vol de colombes l’entoure. Je refais cette douce image qui me bouleverse avec une infinie tendresse, mais au lieu de ressortir blanche, ainsi que je l’avais vue, elle est toute bleue.
N’ayant pas bien perçu le nombre de colombes qui l’accompagnent, je demandai à mes supérieurs que l’on veuille bien me le préciser. Il me fut donné le chiffre quatre. Pourquoi quatre ? Je le sus plus tard.
LA VIERGE AUX QUATRE COLOMBES
(Juillet 1993)
Quinzième tableau, qui est au centre mon autel, à côté du visage de JESUS
Très vite, après ce sujet, à quelques jours d’intervalle, je vois le CHRIST s’avancer dans des ondes mouvantes de lumière. Il tient sur ses deux mains, à plat, un linge immaculé sur lequel repose un enfant nu. Une offrande pour cet enfant nouveau-né, il est coiffé d’un tissu blanc juste posé sur sa tête.
Quelques précisons me furent données par la suite. On me souffla que le linge blanc était plié en quatre. Pourquoi quatre (?), comme les colombes de MARIE ?
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